
Le gouvernement, le SNECS (syndicat des enseignants-chercheurs du supérieur) et le rectorat viennent de trouver un accord mettant fin à la grève qui a suivi l’agression physique, le 7 février, d’un enseignant-chercheur sur le campus universitaire par un groupe d’étudiants appartenant à la « CASO » (Commission des affaires sociales et de l’ordre). L ‘accord a porté sur l’identification et l’exclusion immédiate et définitive de l’université Abdou Moumouni des étudiants identifiés comme responsables de l’agression du 7 février dernier et la réquisition par le recteur des forces de l’ordre pour assurer la sécurité des biens et du personnel universitaire au sein du domaine universitaire.
